Chine USA 10 08 08 101-70

Publié le par Jean-Marie Tartane

 

la Chine opposée au monstre américain aujourd'hui à 16.15mn heures fracaise aux J O de Pekin, m'a présenté un visage que j'ai beaucoup apprécié.

En fait, j'avais prédit dans ce blog que l'on devait s'attendre à cette prestation étonnante de l'équipe de basket qui il y a une diaine d'années encore ne pouivait pas tenir l'opposition à une moyenne équipe européenne;

Cette fois ci, devant 20 000 personnes déchainées, les anfants de la dynastie Ming, enmennés par le justeme,nt nommé Yao Ming, haut de ses 2.26m, cobattif comme un guerrier de l'époque homonyme.

Les chinois ont un basket qui à ce jour manque encore d'une maturité que je nommerai en terme de viticulture à une dizaine d'années de maturation en fut.

Les chinois ont craqué finalement durant la deuxièmemoitié de la deuxième mi-temps.

Ils ont été ébordés par la profondeur du banc américain, composé cette fois -ci à la différence des précédentes olympiades ou championnats du monde , uniquement de joueurs confirmés de NBA.

Il faut même avouer que la qualité et la peneur en acidité de l'équipe dirigée par l'emblèmatique coach de Duke university, Dr K. (j'évite de réécrire l'orthographe complète de sn nom) est apparue au gtrand jour quand les joueurs les moins connus , disons médiatisés de NBA, sont rentrés, permettant aux stars du genre LeBron James, Koby Bryant et autre Dwayne Wade, de se reposer après une prestation que je jugerai à un rythme et une intensité de match amical.

Là le tableau de marque jusqualors limté à un écart d'une quinzaine de points entre les américains et les chinois, s'est affolé jusqu'à grimper à une différence de 38 points .

Cela tornait à la correction, voire l'humiliation, teleslque l'ont supporté les adversaires (hormis l'Australie) des USA, durant leur préparation pré-olympique de juillet et juin.

EDes qualités et des promesses dans leurs pespectives de progrès, ce n'est pas ce qui manque dans cette équipe chinoise au mailot ...rouge, évidemment.

Lorsque la défense des USA patiquée par la deuxième rotation, se relacha (Carlos Boozer, Chris Paul) succédant au cinq de départ composé uniquement des gros calibres et vedettes NBA (Koby briant; Duayne Wade, LeBron James, jason Kidd, Carmelo Anthony, Dwight Howard), les chinois se permirent de laisser libre cours à leur esprit inve,tif, et on assista à des gestes de fantadise dignes des chinois avec des pases derrière le dos et du jeu produit plus crétif, car libéré des blocages dus à l'angoisse de la défense trop prenante.

Wang Zhi Zhi qui , présent depuis le début du match et relativement effacé, montra la profondeur de ses capacités et entama et éréussit des tirs et débordement qui véritablement plaisir à voir.

Yao Ming, le pro des Houston Rockets , présent devant 1 milliard de ses commpatriotes qui n'avaient d'yeu que pour lui, démontra qu'il était autant un basketteur (de génie) qu'une star hors norme en Chine.

Sscapacités de dribbles et débordement (avec le ballon donc), mont véritablement stupéfiées.De plus Ming dispose d'une adresse notemment à 3 points;étonnantes pour un homme de 2.30m.

Son orgueil devant la Chine entière scotchée à sa télévision, fit le reste.

auteurvd'une excelente prestation de 15 points et une dizaine de rebonds Yao est véritablement un houeur hors norme, parmi les géants qui foulent et foulèrent depuis 20ans)les parquets de NBA.

Wang zhi Zhi et ses 2.13m n'est pas ùal non-plus comme déjà dit, et c'est syrtout don plzcement très opporun qui a démontré qu'il a bien l'étoffe d'u bon pivotd'infiltration de NBA.

Li Jiang Laiang et ses 2.11m a également produit un jeu dont que j'avais prédit il y a une semaine, de qualité et prometteur pour un joueur qui évolue tout de même en NBA également (aux Milwaukee Bucks), il ira la saison prochaine aux New Jersey Nets).

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 à des gestes de fantaisie dignes des chinois avec des passes derrière le dos et du jeu produit plus créatif, car libéré des blocages dûs à l'angoisse de la défense trop prenante.

Wang Zhi Zhi qui , fut présent depuis le début du match et relativement effacé, montra la profondeur de ses capacités (dontun dunk à la Chamberlain sur la tête du pivot NBA) et entama et réussit des tirs et débordements qui véritablement, firent plaisir à voir. Ce fut la révélation d'une photo sur fond en couleur, alors que l'on ne la pensait qu'en noir et blanc..

Yao Ming, le pro des Houston Rockets, présent devant 1 milliard de ses compatriotes qui n'avaient d'yeux que pour lui, démontra qu'il était autant un basketteur (de génie) qu'une star hors norme en Chine.

Ses capacités de dribbles et débordements (avec le ballon donc), m'ont véritablement stupéfié.
De plus Ming dispose d'une adresse notemment à 3 points, étonnantes pour un homme de 2.30m.

Son orgueil devant la Chine entière scotchée à sa télévision, fit le reste.

Auteur d'une excellente prestation de 15 points et une dizaine de rebonds Yao est véritablement un homme d'une teneur hors norme, parmi les géants qui foulent et foulèrent depuis 20 ans les parquets de NBA.

Wang Zhi Zhi et ses 2.13m n'est pas mal non-plus comme déjà dit, et c'est surtout son placement très opportun qui a démontré qu'il a bien l'étoffe d'u bon pivotd'infiltration de NBA.

Li Jiang Lang Liang et ses 2.11m a également produit un jeu que j'avais pr"dit il y a une semaine, de qualité et prometteur pour un joueur qui évolue tout de même en NBA également (aux Milaukee Bucks. Il ira la saison prochaine aux New Jersey Nets).

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Si je devais résumer les faiblesses de l''équipe de Chine,  je dirais que ce sont celles qui nous ont à tous apparues:
Jeu un contre un
Manque de densité dans le niveau indiviuel notamment en jeu de un contre un,
Faiblesse dans l' assistance inter-individuelle, notemment pour monter le ballon
Pas assez de  blocages individuels et collectifs, aucun blocs inverses et peu de blocs directs;
Rebonds:
 Jeu de rebonds offensif défaillant quoique niveau défensif très satisfaisant, Insuffisance de profondeur du banc pour assurer les rotations de hauts calibres nécessaires contre des cadors comme les USA. On constate ainsi que l'équipe de Kazlauskas a craqué en fin de match quoique les chinois n'ont jamais vraiment, surtout en deuxième mi-temps , parus capables de dominer durablement  les américains.

Ji Liang Liang (photo ci dessous).
Avec une telle cavalerie, les petits chinois me semblent capables d'inquiéter les géants allemands et leurs double-mêtres à n'en plus compter.


Publié dans J O Pekin 2008

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